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Lettre 2 : A lire sans modération...

 

Extraits :

LETTRE 2

 

Je suis le CHRIST.

     Pendant que j’agis depuis les royaumes suprêmes de la Conscience Créatrice Divine, votre monde baigne dans mon influence.

     On pourrait dire de façon imagée, que je suis en « conscience » aussi distant de votre monde, que votre Soleil l’est de la Terre. Cependant, lorsque vous m’invoquez sincèrement, je suis là, aussi proche de vous qu’il est nécessaire, pour vous aider.

     Beaucoup de gens seront incapables d’accepter ces LETTRES. C’est qu’ils ne sont pas encore prêts.

     Certains tenteront d’étouffer leur existence, l’enseignement qu’elles apportent menaçant leur manière de vivre ou leur religion. Ils s’évertueront en vain. L’opposition décuplera l’impact des Lettres.

     D’autres accueilleront ces Lettres avec joie. En leur âme, ils savent que les religions du monde voilent la VERITE – LA REALITE de l’existence. Ces gens-là prospèreront et sauveront le monde de l’autodestruction.

*** ***

     Je poursuis à présent la narration de mon « autobiographie », entamée dans ma précédente Lettre.

     Représentez-vous maintenant la Palestine au temps où je vivais sur Terre. Voyez combien les gens, alors endoctrinés par les croyances et les rites traditionnels juifs, purent être la proie de conflits intérieurs, en recevant mes enseignements.

     Ces conflits viennent du fait que les évangélistes se sont montrés incapables de rapporter avec exactitude tout ce que j’ai tenté de leur enseigner.

     Les évangiles font de fréquentes références aux paraboles que j’ai utilisées pour décrire la réalité du Royaume des Cieux ou Royaume de Dieu, peu importe le nom qu’utilisent les évangélistes. Mais personnes n’a jamais tenté de saisir le sens profond de ces paroles, de sonder la rhétorique ou de pénétrer la signification spirituelle des expressions Royaume de Dieu ou Royaume des Cieux.

     Plus j’évoquerai les sermons que j’ai délivrés à la foule, mieux vous comprendrez, à la lumière de ce que j’ai vécu dans le désert et de votre connaissance actuelle de faits scientifiques, ce que je tentai d’enseigner à cette époque.

     Comme mon succès fut particulièrement restreint, une autre tentative doit impérativement avoir lieu au début de ce nouvel âge, ce nouveau millénaire. C’est en effet sur ma connaissance spirituelle suprême et unique que l’ère nouvelle érigera ses fondations et se développera.

     Pour le Maître que je suis (comme pour d’autres Maîtres) suprasensible, mentalement et émotionnellement voué à la recherche de la Vérité Existentielle, il fut autrefois essentiel (et cela reste important aujourd’hui) D’INVENTER DES MOTS en venant sur terre afin de décrire à des habitants prisonniers des mots, ce qui existe dans la Dimension Créative Universelle dans un état non matérialisé. Sans de tels Maîtres inspirés, les habitants de la Terre resteraient ignorants de tout ce qui se trouve au-delà de la matière – et qui attend d’être contacté personnellement, vécu, absorbé, pour permettre l’évolution spirituelle future.

     Il ne m’est plus possible de redescendre dans un corps humain pour parler au monde. En outre, mon ministère s’étend à d’autres dimensions, aussi ai-je formé une âme réceptive à recevoir et à transcrire. C’est le mieux que je puisse faire pour vous parler personnellement. J’espère que vous pourrez accueillir mon message et accepter que je ne puisse revenir en personne. Toute erreur éventuelle de transcription est effacée. Soyez-en assuré.

     Tout en lisant, établissez un lien entre les conditions de vie qui régnaient il y a 2 000 ans et votre époque actuelle. Considérez, je vous prie, la personne de « Jésus » comme un exemple de ce que peut accomplir tout être humain lorsqu’il est finalement prêt et travaille à faire advenir le « royaume des cieux » sur Terre.

     Bien que les habitants actuels de la planète soient, pour employer votre vocabulaire, civilisés, imbus de la somme de leurs connaissances et des apprentissages modernes, experts en matière relationnelle, les gens de ce temps-là étaient au fond exactement comme vous :

     Ils étaient entièrement mûs et contrôlés par leur impulsions jumelles d’

Attirance-Rejet

Désirs-Répulsions

Tout comme vous.

     Ils aimaient, haïssaient, critiquaient, condamnaient, calomniaient, médisaient, ambitionnait d’atteindre le haut de l’échelle sociale, méprisaient les ratés, « couchaient à droite et à gauche » comme vous dites aujourd’hui et, ridiculisaient ceux qui étaient un tant soit peu différents d’eux.

*** ***

     Quand je quittai le désert et marchai vers mon village de Nazareth, j’étais encore exalté et la connaissance qui venait de m’être révélée si glorieusement dans le désert, me remplissait d’une joie exubérante. Je me concentrais totalement sur ce que j’avais appris et si mes pensées s’égaraient vers mes pensées négatives d’autrefois, je me tournais rapidement vers le « Père », afin de recevoir l’inspiration et la détermination suffisante pour les surmonter.

     Ainsi, je retournais constamment vers la Lumière de la conscience et de la compréhension.

     Finalement, j’atteignis Nazareth, où j’habitais et les villageois se moquèrent ouvertement de moi, se montrant du doigt ma saleté et mes habits en loques.

     « Sale fainéant » furent les mots les plus aimables qu’on voulut bien m’adresser.

*** ***

     « Maman, viens vite, il y a un vieux bonhomme tout sale à la porte. »

     Je pus entendre ma mère la sermonner à voix basse tout en se hâtant. Elle ouvrit brusquement la porte et le choc la laissa clouée sur place. Je souris mais elle resta un moment à me détailler de haut en bas, de plus en plus horrifiée à l’idée que cet homme à l’aspect épouvantable, était bel et bien son fils Jésus, qui n’en fait toujours qu’à sa tête.

     Je tendis la main vers elle en disant :

     « Je sais que je te cause du chagrin, mais pourrais-tu m’aider ? »

     Immédiatement, son expression changea et, m’attirant à l’intérieur, elle referma la porte.

-       « Vite, dit-elle à ma sœur effrayée. Cesse de crier et mets de l’eau à bouillir. Ton frère meut de faim. Peu importe les ennuis qu’il s’est encore attirés, il est de la famille. Il faut le soigner. »

Délicatement, elle m’aida à ôter mes habits, me fit me pencher au-dessus d’un baquet d’eau et me lava. Elle me nettoya, me coupa la barbe et les cheveux et passa avec précautions un baume bienfaisant sur mon corps et mes lèvres. Nous gardâmes le silence l’un et l’autre.

     Je savourais l’amour dont elle m’entourait et tentai de lui montrer ma gratitude par des manières plus douces et plus tendres.

     M’ayant aidé à revêtir des habits propres, elle me fit asseoir devant un repas frugal de pain, de miel et de lait.

     A contrecœur, elle me servit du vin pour me redonner des forces, mais il était visible qu’elle pensait que c’était le vin qui était la cause de mon état.

     Puis elle me conduisit vers un lit et me recouvrit d’une couverture. Je dormis pendant plusieurs heures et me réveillai frais et dispos par une matinée ensoleillée, qui illuminait la chambre à travers la fenêtre.

     J’avais maintenant hâte de parler à ma mère, de lui dire que j’étais vraiment un Messie, mais pas comme les Juifs l’imaginaient. Je pouvais sauver les gens des conséquences néfastes de leurs « péchés ». Je pouvais les aider à recouvrer la santé, l’abondance, la satisfaction de leurs besoins, parce que je pouvais maintenant leur enseigner exactement comment le monde avait été créé.

     Pendant que je tentai de lui raconter mon expérience, elle se montrait de plus en plus excitée et enthousiaste. Elle bondit de son siège et voulut courir au-dehors pour le raconter aux voisins. Son fils était vraiment le Messie – il faudrait qu’ils entendent  comme il parlait bien maintenant – et il avait jeûné dans le désert !

     Mais je l’arrêtai aussitôt. Je lui dis que je ne lui avais pas encore raconté ce qui m’avait été révélé. L’une des choses les plus importantes que j’avais apprises étaient que les Juifs orthodoxes étaient complètement dans l’erreur en croyant en un « dieu » vengeur. Il n’existait rien de tel.

     Ces mots l’effrayèrent et la perturbèrent ; elle s’exclama :

     « Et comment Jéhovah va-t-il gouverner le monde, nous rendre meilleurs et nous faire écouter ses prophètes, s’il ne nous punit pas ? Es-tu maintenant devenu si arrogant que tu vas dire aux Grands Prêtres ce qu’ils doivent faire, alors que cela leur a été transmis depuis le temps de Moïse ? Vas-tu jeter encore plus d’opprobre sur cette maison ?

     Elle se mit à pleurer, disant avec colère :

-       Tu n’as pas changé du tout Tu n’as changé qu’en paroles. Tu ne me créés que des soucis. Comment ai-je pu croire que tu étais un Messie ? Tu ne feras qu’amener les gens à de plus  grands tourments, avec tes idées bizarres ».

     Mes frères, entendant ses lamentations, accoururent en faisant mine de me jeter dehors. Comme je ne voulais pas d’ennuis, en geste de conciliateur, j’offris de partir.

     Si c’était là la réaction de ma mère, je pouvais être sûr que tous les autres réagiraient ainsi à ce que je voulais leur dire. Je réalisai que j’avais besoin d’un temps de repos et de silence absolus qui me permettrait de rassembler mes pensées et mes expériences. Je devais prier pour recevoir de l’inspiration quant à la manière d’aborder le mieux possible les Juifs avec mon message de « bonne nouvelle ». J’étais sûr que la Vie « Père » répondrait à mes besoins et que je trouverais un logement adéquat quelque part. Même si mon attitude apparemment « arrogante » rendait ma mère furieuse, celle-ci n’en était pas moins déchirée par son amour pour moi et la compassion que lui inspirait mon extrême maigreur. Elle rejetait tout ce qui lui semblait avoir du prix à mes yeux, ma révolte, mon mépris pour la religion juive, mon attitude contestataire envers les autorités, mon entêtement et mon arrogance, mais elle m’aimait et tremblait de me voir cette fois me mettre dans des difficultés vraiment inextricables.

*** ***

-       Qu’en est-il du péché ? demanda-t-elle.

-       Le péché n’existe pas tel que nous le comprenons. Nous naissons pour agir comme

nous le faisons. Nous devons trouver le moyen de surmonter nos pensées et sentiments humains, car ils nous séparent de la protection du « Père » et nous apportent maladie et misère. Lorsque nous aurons appris à surmonter l’ »ego », nous entrerons dans le Royaume des Cieux ».

     Ma mère se détourna sans rien dire, réfléchissant manifestement à ce que je lui disais, mais elle n’était plus fâchée. Je sus qu’elle pensait à mes déclarations et réalisait qu’elles bouleverseraient le monde sécurisant qu’elle connaissait. Sans sa croyance en un Jéhovah menaçant l’humanité désobéissante du pire châtiment, elle se sentirait perdue et vulnérable. Elle se demandait comment le monde allait tourner, s’il dépendait uniquement des hommes de contrôler leurs mauvaises actions et celles d’autrui. Mêmes les rois et les gouverneurs commettaient des méfaits. Sans Jéhovah pour gouverner et punir les pécheurs, comme tout cela finirait-il ?

     Pendant que je reprenais des forces, j’étudiais avec application les Ecritures, afin de pouvoir rencontrer les Pharisiens et les Scribes en toute sérénité. Il fallait aussi absolument que je connaisse ce qui avait été écrit au sujet du Messie car j’étais convaincu d’être celui dont avaient parlé les prophètes. J’étais capable, en effet, de sauver les gens de la misère, la maladie, l’indigence et même de leur rendre la santé et la prospérité en leur révélant la vérité concernant le Royaume des Cieux et la réalité du « Père ».

*** ***

-       Pourquoi donc l’homme souffre-t-il si cruellement ? demanda Miriam.

-       Parce que lorsque l’homme est engendré, quand la VIE prend forme dans la semence, Elle revêt la condition humaine qui La sépare de tout autre individu dans le monde. Afin de La rendre unique, de l’isoler, séparée de toute autre, solitaire, personnelle. Sa propre personne. Elle devient sujette à (elle est contrôlée par) deux impulsions extrêmement fortes dans sa nature terrestre qui attachent l’homme à toutes les choses qu’il désire et l’incitent à rejeter et repousser tout ce dont il ne veut pas. Ces deux impulsions fondamentales de l’homme sont sous-jacentes à tout ce qu’il fait au cours de sa vie et sont entièrement responsables des maux qu’il se créé lui-même. Bien que le « Père » soit actif en l’homme, IL n’a rien de cette condition humaine.

-       Par conséquent le « Père » ne retient rien, ne rejette rien, ne condamne rien, ne voit même pas les « fautes ». Tout ce que fait l’homme, que l’homme appelle des « péchés », n’est que de ce monde et n’est puni qu’à l’intérieur de ce monde – car c’est une Loi de l’Existence Terrestre, comme vous le savez, que ce que vous semez vous le récoltez. Parce qu’il puise la VIE et l’ESPRIT dans le « Père », l’homme est lui-même un créateur, en pensées, en paroles et en actes. Tout ce qu’il pense, dit, fait et croit, lui revient sous une forme semblable un peu plus tard. Il n’y a pas de punition du « Père ». Quels que soient les maux de l’humanité, elle se les créé elle-même, entièrement.

 

     Les gens se dirent tout bas que c’était là un tout nouvel enseignement, qui, pourtant, avait plus de sens que tout ce qu’on leur avait dit jusque-là.

 

     Quelques voix me pressèrent d’en dire davantage.

    

« Je vous le dis : en moi, vous voyez la VIE active sous sa forme de guérison. Suivez-moi et vous entendrez ce que  je dis du SENTIER qu’il faut emprunter pour trouver le bonheur. C’est dans mes paroles que vous trouverez la VERITE de l’Existence qui ne vous a jamais été révélée par aucun autre homme.

    

     Il a été dit du Messie qu’il révèlerait des secrets cachés depuis le début de la création. Je vous le dis, en vérité, ces secrets, vous les entendrez de ma bouche. Si vous écoutez attentivement, en saisissez le sens, en pratiquez la vérité et vous en tenez strictement à leurs lois, vous vivrez une véritable renaissance et entrerez dans le Royaume des Cieux.

*** ***

     Je décrivis ce que j’avais vécu au moment du baptême puis pendant les six semaines passées dans le désert. J’expliquai que ma conscience s’était purifiée progressivement de toutes mes anciennes pensées, croyances, comportements, de mon arrogance et ma rébellion pendant que je vivais les profondes révélations et visions me montrant la Réalité que j’appelais maintenant le « Père ». J’expliquai la nature du « Père » et précisai que cette Nature Divine constituait également la Volonté Divine. Je leur dis que l’homme, suite à ses erreurs de pensées et comportements, s’était lui-même fermé au « Père » en lui ; que l’homme seul, d’abord par le repentir, puis par une purification mentale-émotionnelle, trouverait son chemin de retour vers une communication totale avec le « Père » se libèrerait dans l’esprit, le cœur, le corps, l’âme et la vie de la personne, dans son environnement et ses expériences. Alors, cette personne entrerait dans le Royaume des Cieux gouverné par le « père » et le Royaume des Cieux, s’installerait dans la conscience de la personne, qui aurait ainsi atteint le but de son existence.

     Tandis que je parlais à mes disciples, je vis leurs réactions  se refléter sur leur visage. Tout doute avait disparu et ils affichaient maintenant une lumière naissance de compréhension et de joie. Ces jeunes gens devinrent des croyants enthousiastes et s’exclamèrent :

     « C’est vraiment une bonne nouvelle ! »

     Cependant, après leur première acceptation de tout ce que j’avais dit, il arriva parfois qu’ils se demandent si tout ce que je disais pouvait être vrai. Je les comprenais. Pour être prêt à se débarrasser de l’image de Jéhovah si profondément ancrée dans leur esprit, il fallait une bonne dose de courage.

     Moi qui m’étais révolté avec tant de force et d’ardeur contre les homélies religieuses moralisatrices menaçant les pécheurs de pénitences, de châtiments, de damnation, je marchais maintenant joyeusement à la rencontre des foules.

     J’avais ma bonne nouvelle à leur transmettre pour illuminer leur journée et la guérison des maladies et afflictions pour réjouir leur vie.

     Là où autrefois, je me mêlais aux gens de manière égocentrique et les mains vides, profitant de leur gentillesse et parfois de leur générosité avec peu de gratitude, je venais maintenant avec une abondance de possibilités vivifiantes pour tous ceux qui écouteraient mes paroles.

     Vous, lecteur qui lisez ces pages, comprenez bien je vous prie, ma position à cette époque-là, mon état de conscience après mon illumination dans le désert et le personnage de « Jésus » que je présentais à mes contemporains. Il s’est dit tant de choses à mon sujet que je me dois de vous présenter la vérité.

     Je savais être parfaitement façonné et aiguisé pour devenir un instrument purifié de l’Action Divine en Palestine – mû  par ma passion pour la VERITE, ma compassion pour mes frères humains. C’est pourquoi, je me nommais le « Fils de l’homme », parce que je savais exactement ce à quoi l’humanité était confrontée, dans sa vie quotidienne.

     J’avais aussi pleine et entière confiance en mon pouvoir d’atteindre mes objectifs : apporter la Vérité aux gens et contribuer ainsi à améliorer leur qualité de vie. Je savais pertinemment, dès le début de ma mission, qu’il y aurait un prix à payer pour ce que je me proposais de faire – révolutionner le monde juif connu. J’étais préparé à affronter cela, à en passer par là, je ne pouvais m’y soustraire, parce que j’aimais les gens d’un Amour-Père qui s’écoulait à travers mon cœur et mon être. Car l’Amour-Père est l’essence du DON. Il se donne Lui-même dans l’être visible, dans l’existence visible, la croissance, la protection, la nourriture, la guérison et la satisfaction de tous les besoins de toute création rendue visible.

Je savais que j’étais le don du « Père » au peuple

au monde

pour son salut.

 

NON

le salut par la punition

qu’inflige un Dieu courroucé aux pécheurs

(Contrairement à ce que les juifs supposaient et soutenaient depuis des siècles).

 

MAIS

Je venais sauver les gens de la répétition quotidienne des

mêmes erreurs nées d’une pensée erronée.

Cette pensée erronée créait leur maux, leur pauvreté, leurs maladies

et leur misère.

 

Parce que j’aimais aussi profondément la race humaine,

J’étais prêt à enseigner et à guérir au mépris des prêtres juifs.

J’étais prêt à mourir sur la croix pour ce que j’avais vraiment « vu » dans le désert,

Ce que je savais de tout mon être et voulais transmettre, dussé-je m’y employer

Jusqu’au bout de mes forces

 

 

VOILA LA VERITE DERRIERE MA CRUCIFIXION.

TOUT CE QUE VOUS AVEZ ENTENDU D’AUTRE

EST PURE INVENTION

ET VIENT DE LA TRADITION JUIVE CONSISTANT

A BRÛLER DES OFFRANDES DANS LE TEMPLE.

 

 

J’étais un don du « Père » à l’humanité.

Je venais l’aider

A sortir de l’ignorance des Lois de l’Existence

Et

A trouver le vrai Chemin de Vie

Menant à la joie, l’abondance, la parfaite plénitude

Du Royaume des Cieux

 

*** ***

 

-       Rappelez-vous aussi la grande LOI : « VOUS RECOLTEZ EXACTEMENT CE QUE VOUS AVEZ SEME ».

-       On ne cueille pas de figues sur les ronces ou de raisin dans les épines. Pensez-y et comprenez cette parabole parce qu’elle est très importante – pas aujourd’hui seulement – mais tout au long des jours et des années à venir et même pour l’éternité.

-       Or donc, si vous voulez changer votre vie, changez vos pensées.

     Changez vos paroles qui découlent de ces pensées,

     Changez vos actions qui découlent de ces pensées.

-       Ce que vous gardez à l’esprit créera toutes vos expériences, votre maladie, votre pauvreté, votre malheur et votre désespoir.

 

Texte tiré du livre "Les Lettres du Christ" 

 

 

 

 

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