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L'histoire de France, supprimée des manuels scolaires...

L’HISTOIRE DE FRANCE INTERDITE

est un livre de Dimitri CASALI.

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LE SACRE DE NAPOLEON 1ER

Son contenu étant évidemment « Politiquement incorrect », cet ouvrage, a été SENSURE, au nom de la grande conspiration de tous les temps infligé à tout un peuple ; alors que des raclures telles que « NIQUE LA FRANCE » ne sont pas interdites de vente et son largement distribués sur des sites comme AMAZON ou la FNAC ! En France, il est suicidaire, voire totalement irresponsable, de se risquer à dénoncer des vérités, que les collabos de tous poils et leurs complices, ne veulent surtout pas entendre ! La désinformation des journalistes et de la télévision, contribue largement à laisser les français dans l’ignorance de leur fin prochaine. C’est pourquoi, j’ai choisi de vous transmettre certains extraits de ce bouquin, afin que vous ne mouriez pas idiots !

Soit-dit en passant, tous les régimes totalitaires utilisent les mêmes tactiques pour arriver à leur but, manipuler les enfants dès leur plus jeune âge, en leur matraquant le crâne de mensonges.

Premier volet

JE CITE

Les nouveaux programmes ont été validés en juillet 2008, au nom de « L’ouverture aux autres civilisations de notre monde ». Dès le collège, l’accent est mis sur la mondialisation : ainsi, en 6ème, les élèves doivent étudier les civilisations han (Chine) et gupta (Inde). En 5ème, ils doivent étudier les royaumes africains moyenâgeux : Ghana, Mali, Songhaï, Monomotapa, mais aussi, l’esclavage. En 4ème, l’étude de la Révolution et de l’Empire est sacrifiée pour mieux pouvoir étudier les grands courants d’échanges commerciaux aux XVIIIème et XIXème siècles – comprenant, à nouveau, les traites négrières et l’esclavage… Non seulement une idée de repentance est lentement et patiemment distillée, mais, comme par hasard, Clovis, Charles Martel, Saint-Louis, Charles V, François 1er, Henri IV, Richelieu et Louis XIII, sont entièrement écartés des nouveaux programmes. Quant à Napoléon, l’Empereur, il disparaît presque totalement. Toutes ces grandes figures qui permettent de comprendre comment s’est façonné, au fil des siècles, notre pays, sont dorénavant totalement absentes de son histoire. Insidieusement, les hauts fonctionnaires du ministère proclament que la France ne peut pas être la France, si elle ne s’adapte pas aux populations qui y résident.

La déconstruction de notre histoire et rampante et les tenants de ces théories révisionnistes creusent lentement leurs sillons, sans que personne ne réagisse. De plus en plus tournée vers la seule lecture culpabilisante du passé et cet éternel esprit de repentance, la France multiplie les lois mémorielles (Par exemple, la loi Taubira de 2001). En vivant dans la honte de notre histoire, nous sommes condamnés à nous désagréger, à nous diviser, à disparaître dans le remords et la haine. La vision du monde qui semble s’opérer est binaire : d’un côté, les opprimés, victimes de l’impérialisme des Occidentaux et ce, depuis les temps les plus reculés et de l’autre, les oppresseurs, les Européens et Américains blancs, pilleurs des pays du tiers-monde. De manière générale, tout ce qui a trait à l’histoire du christianisme, du judaïsme, peut-être sujet de contestations. Cette contestation devient presque la norme et peut même se radicaliser et se politiser dès qu’on aborde des questions plus sensibles, notamment les croisades, le génocide des Juifs (les propos négationnistes sont fréquents, la guerre d’Algérie, les guerres israélo-arabes et la question palestinienne. En éducation civique, la laïcité est également contesté comme antireligieuse : « Rousseau est contraire à ma religion… »

Négation de tout ce qui fait notre culture, effondrement des connaissances et perte de tous repères historiques… Comment en sommes-nous arrivés là ??

Pourquoi enseigner la culture française puisqu’elle est synonyme d’exploitation, de pillage et de fausses valeurs, de déshonneur ?

Les nouveaux programmes d’histoire privilégient l’ouverture au monde au nom du vivre-ensemble, ce principe érigé comme valeur suprême de notre république. On cherchera vainement dans ces programmes, comme dans ceux d’éducation civique, les termes « patrie », « patriotisme », « nation », ou « sentiment national » : ils sont soigneusement édulcorés, gommés, comme frappés d’anathème.ILS SONT INTERDITS.Pourquoi ces mots sont-ils devenus si détestables. Est-ce par malaise ? Par lâcheté ? Que se cache-t-il aujourd’hui en France, derrière ce malaise ? Il semble y avoir un véritable refus du récit national, un négationnisme déguisé. Idem, bien sûr, avec l’expression « identité nationale », devenue l’insulte suprême depuis le débat de 2009.

Qu’est-il arrivé à nos élites intellectuelles soutenues par nos dirigeants politiques, pour vouloir à ce point saccager nos systèmes de valeurs. Calculs électoralistes à court terme ? Lâcheté ? Aveuglement idéologique ? Comment expliquer ce renoncement à l’histoire et à la culture française ?

Déstructurons, déconstruisons, du passé faisons table rase et advienne que pourra… Nos élites politiques et culturelles prêchent pour une représentation tronquée du monde qui alimente la crise de confiance massive que traverse notre pays. Elles ont épousé une vision libéralo-mondialisatrice et se sont faites les championnes de la disparition de l’ »exception culturelle française ». Le pays des droits de l’homme doit disparaître en tant que nation pour montrer l’exemple au reste du monde. Nos élites ont donc choisi d’oublier l’Histoire dont elles sont issues et ne comprennent plus rien au pays qu’elles prétendent diriger. Elles oublient Louis XIV, Napoléon, de Gaulle, pour ne retenir que la honte de Vichy et les horreurs de la guerre d’Algérie. Dès que l’on essaie de parler d’histoire de France ou de personnages historiques, les syndicats d’enseignants sortent leur revolver…

Dans chaque chapitre, le « politiquement correct » règne en maître : les droits de l’Homme, le fait religieux, l’antiracisme, la lutte des femmes, l’esclavagisme et la traite négrière. L’approche compassionnelle des problèmes remplace un enseignement de l’Histoire dans toute sa complexité, une véritable étude de la réalité et sociale, lestée de toute épaisseur humaine. Tout cela cache une autre réalité encore plus pathétique : l’existence même de toutes nos anciennes célébrités nationales, de Clovis à Napoléon, doit être occultée. Tout ce qui rappelle une histoire une peu trop glorieuse, un peu trop militaire, un peu trop conquérante, doit être dissimulé pour mieux privilégier les grands thèmes compassionnels : alter mondialisme, droits de l’homme, antiracisme, anticolonialisme, antiesclavagisme qui, eux, sont politiquement corrects. Soyons francs, ce qui gênent certains, ce n’est pas le mot histoire, c’est le mot « France ». Certains responsables, osent affirmer que c’est justement pour faciliter le « vivre ensemble », qu’il faut tenir compte des nouvelles populations immigrées et que c’est un signe d’ouverture pour un élève de douze ans – qui ne maîtrise pas, en raison même de son jeune âge, l’histoire de son pays – d’étudier l’empire du Monomotapa médiéval en 5ème… La fracture nationale est maintenant béante ! Pour certains pseudos historiens est de tout raser, tout détruire, sans proposer aucune autre alternative. Aucune idée ou concept éducatif, aucune proposition constructive ; ils ont le fantasme du grand nettoyage.

Nous sommes le seul peuple au monde (à l’exception des Allemands pour les raisons que nous connaissons tous) à cultiver la repentance à un tel niveau. Ce sentiment de culpabilité est devenu symptomatique de l’esprit français contemporain. Faudrait-il que, tous les matins en se levant, les Français se donnent dix coups de fouet pour se faire pardonner d’avoir été d’horribles esclavagistes au XVIIIème siècle, des colonialistes monstrueux au XIXème et des collabos au XXème ?

Une situation de repentir à sens unique ; jamais exigé des autres cultures, des autres régimes, des autres peuples. Pourtant, toutes les civilisations ont été expansionnistes : les arabes, les chinois, les perses, les mongols, les incas, les aztèques. Toutes ont semé le feu, le fer et la désolation, détruisant des religions locales, massacrant des populations entières. Seuls les historiens ou intellectuels étrangers parviennent encore à nous remémorer les anciennes gloires de notre pays.

Selon Laurent Wirth, « de nombreux jeunes dans nos écoles sont d’origine africaine ; il faut aussi qu’ils se reconnaissent dans nos programmes » (France-Soir, 26 août 2010). Ces programmes permettraient aux enfants d’immigrés de connaître l’histoire de leurs parents et de leur apporter la fierté de leur origine… Les auteurs de cette réforme laissent ainsi entendre que les enfants issus de l’immigration ont une nécessité d’apprendre leurs racines aux dépens de l’histoire de France. Mais, en réalité, en rejetant tout ce qui fait la culture française, en la condamnant, ce n’est pas seulement leur intégration qui devient de plus en plus difficile, c’est la survie même de la nation. Car, quand on n’a plus la même histoire, le même passé, on n’aime plus le même pays, on ne peut donc plus vivre ensemble.

Les hauts fonctionnaires du ministère de l’Education « nationale », dans une incroyable tentative de suicide collectif, ont réussi un tour de force. Tous les pères fondateurs de la République française doivent se retourner dans leurs tombes !

 

Louis XIX,

« Grand criminel de l’Histoire »

Depuis quelques temps, le Roi Soleil, fait l’objet de nouvelles critiques émanant des groupes communautaires. Il serait en effet l’initiateur du Code noir, qui, à partir de 1685, réglementait la traite des esclaves africains. Pour les nouveaux terroristes de la pensée, c’est une tache indélébile, une souillure ineffaçable. Ce code serait même « Le texte juridique le plus monstrueux de toute l’Histoire moderne », accuse le sociologue Louis Sala-Molins.

D’après l’historien Serge Daget, durant tout le XVIIIème siècle, six millions d’hommes ont été déportés vers les Amériques :

1. 2,5 millions par les anglais,

2. 1,7 million par les portugais,

3. 1,1 million par les français,

4. 700 000 par les hollandais.

 

 

Napoléon = Hitler

Le nom de Napoléon est encore aujourd’hui une référence historique importante dans la mémoire des hommes du monde entier. Excepté pour la plupart des français !

Dès que l’on évoque ce personnage dans notre pays, que ce soit dans la presse, à la télévision ou dans les manuels scolaires, c’est pour le diffamer et voir en lui un dictateur ivre de sang. « Napoléon = Hitler, lit-on dans certains magazines et entend-on dans certains magazines et entend-on dans certains groupes communautaires. Aujourd’hui, Napoléon est devenu la cible préférée de certaines élites intellectuelles, journalistiques et même universitaires. L’Empereur n’est plus qu’un horrible tyran assoiffé de sang et de guerre. Depuis 2005, nouveau coup de tonnerre, il est aussi devenu un esclavagiste coupable de crime contre l’Humanité.

 

 

Etre ou devenir français ?

Posez cette simple question autour de vous : « Etes-vous satisfaits d’être français ? ». Vous obtiendrez de nombreuses réponses du type : « Nous sommes français par les lois du hasard, nous ne l’avons pas souhaité » ; ou « Cela m’est complètement égal. » « Un discours que l’on entend fréquemment et, en particulier, dans la bouche de personnes appartenant à des classes plutôt aisées. D’autres vous avoueront être prêts à changer de nationalité sans aucun état d’âme. Nous pouvons alors mesurer l’individualisme forcené qui domine notre société sans repères et qui rejette ses symboles nationaux. Pourquoi les nouveaux arrivants tenteraient-ils alors de s’intégrer ? Et s’intégrer à quoi ?

La France est à l’opposé de ce qui se passe dans les autres grandes démocraties. Aux Etats-Unis, alors que les américains n’ont pas d’Etat-providence, l’intégration fonctionne beaucoup mieux, parce qu’on s’intègre à une nation américaine fière de ses valeurs et de son histoire récente. On immigre aux Etats-Unis pour devenir américain. A travers tout un long cérémonial et un parcours pédagogique très élaboré, où le nouvel arrivant prête serment à sa nouvelle patrie, chaque immigré est incité à faire un véritable saut dans l’identité américaine. Il n’y a ensuite que très peu de sentiment de rejet de cette citoyenneté.

Quant au Royaume-Uni, il a imposé à ses nouveaux citoyens et sans aucune critique de la part des médias, un serment d’allégeance à « Sa Majesté la reine, ses héritiers et successeurs », de « loyauté » au Royaume-Uni, de respect de ses droits et libertés, de défense de ses valeurs démocratiques »… Tout l’opposé de la France !

 

 

 

Les grands symboles de la France

à la trappe !

Depuis une trentaine d’années, tous les grands symboles de la France – tels que la Marseillaise, le drapeau tricolore, la devise « Liberté, Egalité, Fraternité » - et d’autres éléments fondamentaux de la nation, comme la Fête nationale du 14 juillet et certaines commémorations, sont dénigrés. Certains, comme Eva Joly, candidate d’Europe-Ecologie les Verts (juillet 2011), ont carrément demandé la suppression du défilé du 14 juillet. Ultime insulte à l’armée française, autre grand symbole et qui avant tout est l’armée de la National.

Il y a longtemps que nous avons capitulé sur les valeurs de la France éternelle, alors qu’il existe un modèle d’intégration fondé sur la philosophie des Lumières, la Déclaration des droits de l’homme et tout ce qui a créé la culture française. Comme le rappelait justement Marc Bloch, il ne faut rien rejeter. Le grand historien écrivait à ce sujet : « Il y a deux catégories de français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du Sacre de Reims et ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération de 1790. » En effet, l’histoire de France est un bloc et il faut être capable d’éprouver autant d’émotion à l’évocation des rois de France qu’à celle de la Révolution. Ainsi, Marc Bloch rappelle ce fait incontestable, la France possède un double héritage. Le premier est catholique et royal, le second est révolutionnaire et laïque. Il faut enseigner les deux.

 

 

 

La Marseillaise : hymne national ?

Avant chaque match, les joueurs de l’équipe de France, entonnent La Marseillaise, la main sur le cœur. Et bientôt, c’est tout le stade qui chante et vivre avec eux. Cela c’était avant. Il y a trente ans. Car La Marseillaise est bien plus qu’une chanson, c’est l’hymne de la France. Elle fait partie des symboles de notre République et, ce, depuis plus de deux siècles… Cette chanson était partout dans la vie : à l’école, à la télé, à la radio, au stade et dans la rue. Lors de la Fête nationale du 14 juillet, toutes les fanfares la jouaient. Après leurs discours, les hommes politiques se mettaient à l’entonner. Edith Piaf et la plupart des grands chanteurs de variété l’ont interprétée. Serge Gainsbourg en a même fait une excellente version reggae !

Aujourd’hui, La Marseillaise se fait partout siffler, critiquer, détourner de son essence historique. On a même vu circuler une pétition des syndicats d’enseignants pour obtenir sa suppression en 2005. Elle précisait : « La Marseillaise, par la violence, le fanatisme et le racisme de ses paroles (sic), est en parfaite opposition avec les valeurs de la tolérance, de non-violence, de respect des autres, d’esprit critique, valeurs qui demeurent les fondements de l’éducation et que le enseignants s’évertuent à transmettre à leurs élèves.

 

 

 

Le drapeau en France et à l’étranger

Le drapeau tricolore est l’ »image » de la Patrie et nous devons le respecter comme nous devons respecter le drapeau des autres nations. Mais, aujourd’hui, il est devenu impossible d’arborer nos trois couleurs sans se faire traiter de dangereux nationaliste. En Angleterre, aux Etats-Unis et dans tous les pays du monde, le drapeau national est déployé à la moindre occasion. A Brasilia, à Shanghai ou à New Delhi, à chaque fête ou célébration nationale, les habitants sont heureux de brandir un drapeau à leur fenêtre. Toutes les nations revendiquent leur fierté. Toutes, sauf la France. Si jamais vous osez arborer les trois couleurs, soudain un regard méfiant, suspect et étrange se pose sur vous ? La France est-elle devenue une exception mondiale ?

 

 

 

06 mai 2012 : une image vaut mille mots

Place de la Bastille, lors de l’élection présidentielle de mai 2012, qu’avons-nous vu ?? Une multitude de drapeaux arabes et africains et, au milieu, comme perdus dans cet océan multicolore, quelques rares drapeaux bleu-blanc-rouge. L’effet saisissant sautait aux yeux, comme s’il n’y avait plus de nation française. Seul un petite drapeau français timide, recroquevillé au milieu de tous les autres, algériens, turcs, marocains, syriens, égyptiens, tunisiens, palestiniens, de la Côte-d’Ivoire – et non-pas Irlandais, comme l’affirmaient les médias.

Peu de drapeaux français pour l’élection du président français ? Posons-nous tout simplement la question : cela existe-t-il dans les autres pays ? Croyez-vous un instant que la présence d’un drapeau français soit tolérés en Algérie lors des élections, ou même aux Etats-Unis ? Ce serait très mal vu, car ces peuples sont tous patriotes et fiers de leurs pays. Marine le Pen doit se frotter les mains… Avec tout ça, dans cinq ans, elle fera 40 %. Tous les grands médias de gauche se sont réjouis de cette image et, dès le lendemain, Le Nouvel Observateur osait faire le rapprochement avec la place Tahrir en Egypte et le Printemps arabe. Mais place Tahrir, il y avait uniquement des drapeaux égyptiens… et la France n’est pas l’Egypte de Moubarak.

Quelle est la réaction de nos présumées élites devant des dizaines de drapeaux étrangers brandis, parfois avec une certaine insolence, sur la place de la Bastille ? Elles ne s’offusquent ni ne s’inquiètent de la disparition du drapeau bleu-blanc-rouge, avalisant donc finalement la négation de l’emblème qu’est notre drapeau, emblème inscrit dans l’article 2 de la Constitution française. Est-ce de l’irresponsabilité ou de l’inconscience de la part de ceux qui gardent le silence, voire encouragent ce genre de liesse contraire à l’affirmation de nos symboles et de nos principes républicains ?

 

Tout cela démontre une fois encore la duplicité de nos politiciens, alors qu’il faudrait rassembler tous les français pour redonner un nouveau souffle à la France dans la compétition internationale qui s’annonce. Dommage que tous ces jeunes ne se soient pas regroupés derrière le drapeau tricolore afin de montrer au reste du monde qu’il faut compter avec une France fière à la fois de ses racines et de sa diversité. L’inconséquence de ces gestes symboliques, par des jeunes gens qui n’ont pas encore suffisamment réfléchi sur les grandes dynamiques historiques des peuples et des cultures, braque la conscience nationale.

Cela rappelle aussi les sifflements répétés du Stade de France (France-Algérie en 2001, France-Maroc en 2007 et France-Tunisie en 2008). Il y a de quoi être choqué en voyant ces jeunes français camper à ce point dans le communautarisme de leur pays d’origine, dont ils ne connaissent pourtant rien ou si peu. Pourquoi agissent-ils ainsi ? Parce qu’on ne leur a pas assez appris l’amour de leur nouvelle patrie, ni à l’école de la République et encore moins dans les médias ; nulle part on n’a su leur démontrer que la France est un des pays les plus ouverts au monde. Elle ne doit pas devenir le pays du rejet. L’oubli, l’abandon des valeurs de la République, c’est effectivement quand on préfère afficher un autre drapeau que celui de son nouveau pays. Pour que la France reste la France, il faut que nous restions solides sur nos fondamentaux, sur nos repères et non capituler à tout va en liquidant l’héritage de nos pères.

 

 

La France qu’il faut « Niquer »

En France, certains groupes de rap connaissent un grand succès sur les ondes qui les diffusent. Voici quelques extraits de leur « prose » :

1. Le groupe 113 :

« J’crie tout haut : J’baise votre nation

On remballe et on leur pète leur fion. »

 

Paroles très poétiques à la rime « subtile », on est assez loin du texte de Freddy Mercury dans l’album A night at the Opera…

 

2. Le groupe Sniper :

On nique la France

Sous une tendance de musique populaire

Les frères sont armés jusqu’aux dents,

Tous prêts à faire la guerre.

3. Ou alors, Ministère Amer :

« J’aimerais voir brûler Panam au napalm

Sous les flammes façon Vietnam. »

4. Une dernière du groupe Lunatic :

« Quand j’vois la France les jambes écartées,

J’l’encule sans huile. »

 

 

Comment peut-on laisser des maisons de disques et des organisateurs de concerts propager de tels appels aux meurtres, aux viols, à l’encouragement aux « tournantes », à la haine raciale envers « les Blancs », aux attentats à la violence, sans réagir ?Leurs auteurs ne cessent de cracher sur la France en des termes qui les conduiraient tout droit en prison dans d’autres démocraties. Sauf dans la nôtre, où pourtant, le Code pénal condamne ces crimes, ces appels à la violence et l’incitation à la haine raciale que renferment ces textes.

Un dernier exemple en la personne du rappeur Booba, né à Boulogne-Billancourt et qui vit aujourd’hui à Miami, loin du fisc. Dans Paris-Match, il n’hésitait pas à déclarer : « On défend un territoire, une origine. Je ne sais pas si c’est l’héritage de nos tribus… Mais c’est toujours la guerre. » Si un seul « Blanc » tenait de tels propos, il serait aussitôt poursuivi pour racisme et incitation à la haine. « J’encule la France », « Fuck la France » hurle-t-il dès le début de son morceau « Caesar Palace », dans l’album Lunatic (2010) vendu à 100 000 exemplaires…

 

 

Face à de telles aberrations, citons Pierre Desproges :

« JE SERAI ANTIRACISTE QUAND ON ECRIRA

« RACISMES » AU PLURIEL. »

…………………………………………………………………… A SUIVRE

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