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Viré de la mairie de Paris pour avoir critiqué le Coran !!!

 

L’incroyable injustice : viré par la mairie de Paris pour avoir critiqué le Coran !

Regardez cette vidéo et ne manquez surtout pas la fin.

 

https://www.youtube.com/watch?v=wE9eGzytymQ

 

La critique des livres supposés sacrés fut longtemps dangereuse… Au Moyen-Age, évoquer des doutes conduisaient de nombreux impudents à de pieuses grillades d’hérétiques. Mais, les lumières de la raison cantonnèrent, depuis le 20ème siècle seulement, l’obscurantisme dans ses combats d’arrière-garde.

 

De nos jours, les libertés permettent débats, critiques, moqueries ou arguments échangés sur les religions d’origine.

 

Sauf que… sauf l’exception de la religion la plus sotte… L’impensable d’hier s’actualise aujourd’hui: le retour du délit de « blasphème » et le qualificatif de « racisme d’extrême droite » pour les NOUVEAUX HERETIQUES qui osent critiquer et se moquer de la religion-politique la plus sommaire, le si pré-médiéval islam.

 

Si vous pensez que j’exagère, écoutez donc l’histoire de Stéphane, éducateur technique spécialisé, estimé durant des années pour ses compétences et son humanité vis-à-vis de populations défavorisées, qui se retrouve au chômage, mis à la porte d’une institution gérée par la Mairie de Paris, pour AVOIR CRITIQUE le CORAN

 

L’affaire :

Originaire du Sud-Ouest, Stéphane fut reçu au concours d’éducateur à la Mairie de Paris, et passait un an de stage avant sa titularisation.

 

Tout a commencé lors d’une discussion privée avec une collègue musulmane, plutôt inculte, qui lui affirmait qu’ « un chrétien ne DOIT pas manger de porc, puisque c’est écrit dans la bible »… Lors de l’échange, Stéphane critique le coran dans le texte. Sa collègue va se plaindre à la supérieure hiérarchique maghrébine, sans que Stéphane en soit informé.

 

A partir de là, l’engrenage se déclenche avec un cortège de reproches aberrants, d’interdits abscons, de refus de prime et de formation, une forme de mise au placard, des notations insidieuses s’accumulent, sans que jamais ne soit évoqué l’ « incident coranique ».

 

Enfin, la conclusion tombe : la titularisation est refusée, événement exceptionnel pour les reçus par concours.

 

Stéphane se défend dans les instances légales, soutenu par les représentants syndicaux. Après la commission de lutte contre le harcèlement, il passe devant le tribunal administratif, où des pièces du dossier sont transmises la veille de la comparution.

 

Et c’est là que Stéphane découvre la SEULE pièce écrite qui va le condamner : une maghrébine dénonce l’intolérable : Stéphane a CRITIQUE le livre divin, le coran… Le tribunal administratif AVALISE le « blasphème », et la Mairie de Paris soutient la supérieure hiérarchique maghrébine qui a si intelligemment concocté le piège, de par ses pouvoirs de petit chef vindicatif.

 

Stéphane est actuellement au chômage, dans une forme de mort sociale, car qui va oser l’embaucher dans le public après cette exclusion.

I

l devient donc licite à ce jour d’admettre, semble t-il, comme évidence la pénalisation d’un avis négatif du livre supposé sacré par une religion bien pauvre en concepts, inassimilable en démocratie, mais qui ambitionne de structurer nos sociétés à la sauce orientale, avec la bénédiction lâche et sectaire de certains de nos concitoyens.

 

Guy Sauvage (RIPOSTE LAIQUE)

 

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