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Mali maléfique...

En période de guerre, la France peut-elle tolérer l’islam sur son territoire ?

 

L’Histoire serait-elle un éternel recommencement ? En 1956, un socialiste, Guy Mollet, violemment hostile à toute intervention militaire en Algérie, est élu président du Conseil. Il affirme à l’époque que « la guerre est imbécile et sans issue ». Six mois après son élection, c’est le même homme qui double les effectifs déjà présents et envoie le contingent.

Par un pied de nez de l’Histoire, c’est un autre socialiste, François Hollande, qui, il y a quelques semaines, présentait des excuses scandaleuses au dictateur Bouteflika, reprenant tous les arguments du FLN, et se montrant incapable de défendre ce que son pays avait pu amener de positif, depuis 1830, en Algérie, notamment la fin de l’esclavage, (n’est-ce pas, Taubira ?), la construction d’écoles, de routes et d’hôpitaux.

Par un autre pied de nez de l’Histoire, c’est le même François Hollande, qui annonçait encore; tel que Guy Mollet, 56 ans plus tôt, que jamais la France n'irait combattre au Mali.

 

 

Ces fortes paroles n’ont pas empêché le même président de la République de faire une volte-face complète, et de, selon la version officielle, répondre à l’appel au secours du président du Mali, affolé par la progression des islamistes dans le nord du pays.

Le moins qu’on puisse dire est qu’au niveau intérieur, la situation malienne est une aubaine pour Hollande. Au plus bas dans les sondages, se préparant, en 2013, pour obéir à la feuille de route que lui ont confié les technocrates de Bruxelles, à imposer une terrible cure d’austérité aux Français, il venait de se prendre, par ailleurs, la plus grande manifestation sociétale de l’après-guerre, avec « La manif pour tous », et son million de Français descendu dans la rue pour s’opposer au mariage homo.

Ri7Hollande fabius s'en vont en guerre

Alors, bien sûr, nombre de plumitifs nous dressent de ce personnage falot un portrait élogieux. Selon les uns, le chef de guerre aurait enfin révélé un vrai président de la République. Selon d’autres, celui que nous appelons Normal 1er romprait ainsi avec cette image d’homme hésitant qu’il véhiculait, et montrerait, en cette occasion, sa vraie nature, un vrai dur.

Laissons les courtisans courtiser, et regardons plutôt le plus lucidement la situation créée. D’abord, fidèle à ses habitudes, notre journal n’esquivera pas le débat de fond, que plusieurs articles ont déjà lancé. La place de la France est-elle au Mali ? Certains diront que oui, d’autres que non, et d’autres enfin que si on combat les islamistes au Mali, on doit au moins les combattre aussi en France.

Là est selon nous la question la plus importante. Si la France déclare la guerre aux islamistes au Mali, elle doit se donner les moyens de gagner cette guerre, et donc surtout d’empêcher que notre pays demeure une base arrière de ceux que nous combattons à des milliers de kilomètres.

Nous allons bien sûr avoir le numéro des pleureuses habituelles, Moussaoui-Boubakeur-Ramadan, qui vont nous dire que les insurgés maliens n’ont rien à voir avec l’islam. Le CFCM a commencé, remerciant Hollande de parler de terroristes et pas d’islamistes. Cela n’a pas tenu longtemps, chacun a compris que ce ne sont pas des bouddhistes que notre armée est partie combattre à Bamako.

Ri7Quatar financeNous avons, à cause de la politique des islamo-collabos qui ont été élus par les voix de 93 % de musulmans, une véritable cinquième colonne en France, davantage sensible aux intérêts conquérants de l’islam qu’à l’amour du pays dans lequel nombre d’entre eux sont nés. Quand des musulmans, des années durant, ont imposé leurs prières illégales dans les rues de Paris, quand ils insultent des femmes non voilées, tabassent, en plein ramadan, ceux qui osent se nourir, sommes-nous bien éloignés de ces images qui nous viennent de Londres, où on voit une milice religieuse faire la loi dans des quartiers islamisés ?

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=YKiPV5RNTEU

Nous ne pouvons oublier que trois fois depuis 2001, lors de rencontres de football contre l’Algérie, le Maroc et la Tunisie, l’hymne français a été sifflé par tout un stade, fait unique au monde.

Nous ne pouvons pas davantage oublier qu’à Toulouse, c’est le drapeau français qui a été remplacé, place du Capitole, par le drapeau algérien, sans que nos policiers n’aient l’ordre d’intervenir.

Nous ne pouvons pas oublier le récit de Marion Dubost du réveillon, sous la Tour Eiffel, où, là encore, notre drapeau a été conspué.

Nous ne pouvons oublier les paroles des rappeurs islamisés, insultant notre pays, appelant au meurtre de ses policiers et au viol de ses femmes.

Nous ne pouvons pas oublier Kelkal en 1995, Moussaoui en 2001, Fofana en 2006, et Merah en 2012, rien que de bons Français se réclamant de l’islam.

Nous ne pouvons oublier les dizaines de milliers de racailles qui insultent quotidiennement les Français, et notre pays. Nous ne pouvons oublier les événements de 2005, ou, pendant trois semaines, la France a été mise à sang et à feu par des jeunes éléments, majoritairement issus de l’immigration post-coloniale majoritairement musulmane.

Nous ne pouvons pas oublier ce qu’est réellement la stratégie des islamistes les plus radicaux, en France : profiter de la politique migratoire des différents gouvernements, miser sur une démographie favorable, et, par petits pas, imposer l’islam partout où cela est possible… jusqu’à ce que la charia soit la loi de tous, comme le reconnaissant le trésorier de la mosquée de Roubaix, interviewé par le journaliste John Paul Lepers.

Nous ne pouvons oublier enfin qu’à la RATP, mais aussi dans nombre d’entreprises, les barbus imposent quotidiennement leurs lois rétrogrades à l’ensemble des travailleurs, et que lors du ramadan, nos entreprises sont sommées de s’adapter à une coutume religieuse arriérée et obscurantiste.

Nous ne pouvons pas oublier enfin que 40 % de Tunisiens vivant en France ont voté, lors des dernières élections, pour le parti islamiste Ennahda. Il faut donc arrêter ce mensonge qui consiste à nous dire que 98 % des musulmans vivant dans ce pays sont parfaitement intégré, et ne parlent que de République et de laïcité, c’est faux ! Les musulmans dits modérés, comme Fils de France, ne protestent pas quand les plus radicaux exigent que les lois de la République s’adaptent à celles de l’islam, parce qu’ils sont d’abord musulmans, tout simplement !

Alors, si nous sommes en guerre au Mali, il convient, au plus vite, au nom du principe de précaution, de prendre toutes les dispositions pour que les complices de ceux que nous combattons là bas ne nous affaiblissent pas sur notre propre territoire.

Nous ne devons pas tomber dans le piège du CFCM qui, naturellement, va, la bouche en cul de poule, par son président Moussaoui, demander encore plus de mosquées et d’accommodements raisonnables pour lutter contre « la minorité intégriste qui donne une mauvaise image de l’islam ». Jean Ducluzeau ne démasque-t-il pas l’imposture de ce discours, en écrivant que « l’islam c’est l’islamisme au repos, et que l’islamisme, c’est l’islam en mouvement ».

C’est donc également en France qu’il faut combattre l’offensive islamiste, ses mosquées, ses voiles, ses kamis, son halal, et tout ce qui constitue ses instruments de conquête de la société française. C’est en combattant sans concession ce cancer pour la démocratie qu’on se donnera les moyens d’aider les Maliens, mais aussi l’ensemble de l’Afrique, de freiner, puis de vaincre, l’inexorable progression islamiste, favorisée par des apprenti-sorciers irresponsables tels Sarkozy-BHL.

C’est également en prenant des mesures d’exception contre l’islam – les périodes de guerre, cela sert aussi à cela – que notre pays se donnera les moyens d’aider les nés-musulmans qui, notamment les femmes, veulent profiter de la République et de la laïcité pour vivre comme des Européens, et ne pas subir la loi d’imams arriérés et rétrogrades… Parmi ces mesures à prendre, bien évidemment l’arrêt de la construction de mosquées, qui, pour reprendre les propos du président turc, sont « nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats ». Bien évidemment, la fermeture immédiate de toute mosquée surprise à faire de la politique, ce qui est interdit dans les lieux de culte par la loi de 1905. Bien évidemment l’arrêt de l’immigration venue de pays musulmans apparaît comme une mesure évidente, pleine de bon sens, et on attend avec impatience que Valls nous annonce cela… C’est l’expulsion automatique dans un pays musulman de tous ceux, Français y compris, qui, dans cette période, montreront, en service commandé, une hostilité contre notre pays. Nous ne voulons plus entendre les Bouteldja « niquer la France », sans que cela ne finisse dans l’avion. Nous devons ce respect à nos soldats qui, au Mali, risquent leur vie, en combattant le fascisme du 21e siècle, celui qui ne dérange ni Mélenchon, ni Besancenot.

A son corps défendant, en intervenant au Mali, Hollande aura ouvert une boite de Pandore qui fera que le débat sur l’islam deviendra incontournable. On souhaite par ailleurs bien du plaisir à notre vaillant »Moi président » pour expliquer à notre peuple qu’on combat des islamistes armés par nos alliés du Qatar à qui on vend la France, qu’on est avec eux en Syrie contre Bachar El Assad, et que, par la politique migratoire voulue par Valls, on va donner plus de visas aux pays du Maghreb, donc faire venir en France des milliers de Merah potentiels.

Celui qui, paraît-il, en quelques jours s’est transformé en homme d’Etat, ne pourra longtemps prendre ses compatriotes pour des imbéciles. C’est bien contre les soldats de l’islam que nos militaires sont partis se battre au Mali. Hollande ne pourra donc pas occulter longtemps la vraie question : en période de guerre, la France peut-elle tolérer l’islam sur son territoire, et laisser ses disciples y continuer leur propagande contre notre pays et ses valeurs ?

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