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Fontenay-s/s-Bois : violées car pas converties à l'Islam !!!

Fontenay-sous-Bois : pour ne pas être violées, Nina et Aurélie n’avaient qu’à porter le voile !

 

La cour d’assises du Val-de-Marne a acquitté, dans la nuit de mercredi à jeudi 11 octobre 2012, dix hommes poursuivis pour des viols collectifs sur deux jeunes femmes commis dans des cités de Fontenay-sous-Bois, et condamné quatre autres à des peines allant de trois ans avec sursis à un an de prison ferme – alors qu’au début du procès, les pénalistes parlaient de 20 ans de réclusion criminelle… Après trois semaines de débats à huis clos mais sous haute tension, la cour d’assises a reconnu des viols sur une seule des plaignantes qui, selon une de leurs avocates, ont eu le sentiment d’avoir assisté à un « naufrage judiciaire ».

 

Ce naufrage judiciaire est la conséquence de l’irresponsabilité et de la lâcheté qui caractérisent aujourd’hui l’appareil juridique français. La cour d’assise de Créteil a adressé un formidable message d’encouragement et d’impunité aux islamo-racailles de nos banlieues. Ce message qui fera la joie des jeunes caïds organisateurs de tournantes va, a contrario, terroriser les jeunes filles des cités, notamment les plus fragiles socialement. Qui sont-elles?

 

Je veux parler des jeunes filles ou jeunes femmes non-musulmanes issues de milieux modestes (rendant difficile la perspective d’un déménagement) et souvent dépourvues de pères ou de grands frères, comme c’était exactement le cas pour Nina et Aurélie à Fontenay-sous-Bois. Ces deux pauvres créatures ont eu la malchance de vivre leur jeunesse dans un territoire qui – pour ne pas être officiellement régi par la charia – subit déjà la domination de fait de la culture coranique et de ses rapports de forces. Le déni obstiné des pouvoirs publics face à cette réalité dérangeante ne laissait guère d’espoir à la partie civile et permettait d’anticiper la décision de justice de la cour d’appel de Créteil.

Nina et Aurélie auraient dû savoir que leur salut dans une telle cité n’était possible que grâce à deux options :

- la conversion à l’islam et l’affichage ostentatoire de la pratique religieuse

- ce que je qualifierai de camouflage de la féminité. Dans ce cas, la jeune fille adopte une posture « garçonne » par la pratique du football ou d’un sport de combat, la prise de poids ou le port de vêtements amples dits « baggy« .

La pathétique ex-rappeuse Diams illustre en quelque sorte cette dualité, par ses deux phases successives.

 

Dans ce contexte, reste-t-il de l’espoir pour les jeunes filles des cités n’ayant pas les moyens de déménager vers des villes non-soumises à la règle de la dhimmitude et à sa triste omerta?

 

- La peur des représailles leur défend de requérir l’institution policière.

 

- Les structures sociales sont aveugles face à la dimension religieuse du problème – et de toute façon désarmées car la notion de dhimmitude n’a évidemment pas d’existence administrative.

 

-Les mouvements féministes français sont moribonds et refusent, hormis quelques exceptions, à s’attaquer à l’islamisation de la société française pour des raisons idéologiques.

 

- Quant à l’institution judiciaire, supposée protéger les plus faibles, elle vient de confirmer à Créteil, sa lâcheté et sa soumission à la domination islamique de la cité.

L’unique perspective positive concerne peut-être l’aspect matériel au bénéfice de la rénovation urbaine de Fontenay-sous-Burqa. En effet, les lieux sordides (évoqués par les médias) utilisés par les islamo-racailles lors des viols collectifs qu’ont subis Nina et Aurélie, pourraient prochainement faire l’objet d’une restauration grâce aux pétrodollars de l’émir du Qatar…

 

A ma connaissance, à ce jour, seul le Front National a invité le parquet à faire appel de la décision de la cour d’appel de Créteil.

Guillermo Dias

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